J'ai la triste tâche de vous annoncer que Jean-Marie Lacombe est décédé au Glengarry Memorial Hospital, le dimanche 18 novembre 2018. Jean-Marie vivait à Glen Robertson. Il est mort à 85 ans. Époux bien-aimé de Cécile Lacombe (née Vernier). Père bien-aimé de Norman (Suzanne Périard), Jean-Marie Jr. (Aline Lebrun), Michel (Donna Forget), Christiane Parisien (Maurice), Gina Lacombe (Steven Théorêt) et Joyce Lacombe (Richard Robinson). Cher frère de Léon, Germain (Louise), George (Louise), Normande (Normand), Gisèle (Michel) et Madeleine (André). Prédécédé par ses frères Maurice, Raymond, Noël, Paul-Émile, sa soeur Marie-Marthe et ses parents Norman et Germaine Lacombe (née Paquette). Il laisse également quinze petits-enfants et de nombreux arrière-petits-enfants. Les parents et les amis se sont rendus aux Munro & Morris Funeral Homes Ltd., 114, rue Main Sud, Alexandrie (613-525-2772) le vendredi 23 novembre 2018 de 9 h à 10 h 30. Une messe de sépulture chrétienne a été célébrée à l'église Saint-Martin-de-Tours de Glen Robertson le vendredi 23 novembre 2018 à 11h.En mémoire de Jean-Marie, un arbre a été planté à Memory Woods.
Jean-Marie Lacombe est né le 18
novembre 1933, fils de Norman Lacombe et Germaine Paquette Lacombe. Il fut
baptisé à Glen Robertson en Ontario. Sa mère était originaire de
St-Scholastique, au Québec et son père, de la concession 9, de North Lancaster.
Ils vivaient avec son oncle Hormidas Lacombe, fromager, et son épouse Marie-Anne Filion à Glen Robertson. Hormidas et Marie-Anne Filion ont élevé Germaine Paquette lorsqu'elle devint orpheline en bas âge. Marie-Anne Filion était la sœur de sa grand-mère. Quand la mère de Jean Marie, Germaine Paquette a épousé son père Norman Lacombe, ils ont vécu chez Hormidas et Marie-Anne. Norman Lacombe a commencé à travailler à la fromagerie avec son oncle Hormidas Lacombe qui était le frère de son père Hyacinthe Lacombe. .
À cette époque, son père Norman Lacombe et son oncle Hormidas Lacombe jouaient du violon, mais son oncle jouait aussi de la cornemuse. Les frères et sœurs de Jean-Marie étaient tous musiciens et jouaient d'un instrument ou d'un autre, comme le piano, le violon, la guitare et l'accordéon.
Durant son enfance, Jean-Marie a fréquenté une école catholique à Glen Robertson, située à environ 800 mètres de son domicile. Chaque matin, jusqu'à la fin de sa 8e année, il se rendait à son école constituée de trois salles de classes. Pendant les mois d'été, il travaillait dans la ferme d'un voisin ou dans l'atelier de son oncle. Son oncle fabriquait des bâtons de hockey et différentes poignées en bois pour haches, marteaux et pics.
À l'âge de seize ans, Jean-Marie se joignit à des équipes de travailleurs de la construction où il se spécialisa dans le domaine de la maçonnerie et le travail de la pierre. Pendant trois étés, il s'est rendu à Simcoe et à Tillsonburg, en Ontario, pour la récolte du tabac.
En 1953, Jean-Marie a épousé Cécile Vernier. Le couple s'installa à Vankleek Hill, où Jean-Marie commença à travailler pour G. & G. Construction en tant qu'ouvrier, mélangeant du mortier et du ciment pendant la construction du lycée du district de Glengarry. Cécile et lui ont eu sept enfants, quatorze petits-enfants et deux arrière-petits-enfants.
Jean-Marie a travaillé en tant qu' entrepreneur à son compte pendant de nombreuses années, avant de prendre sa retraite en 1990. Comme il était toujours intéressé par les instruments de musique, il en a fait un passe-temps.
Ils vivaient avec son oncle Hormidas Lacombe, fromager, et son épouse Marie-Anne Filion à Glen Robertson. Hormidas et Marie-Anne Filion ont élevé Germaine Paquette lorsqu'elle devint orpheline en bas âge. Marie-Anne Filion était la sœur de sa grand-mère. Quand la mère de Jean Marie, Germaine Paquette a épousé son père Norman Lacombe, ils ont vécu chez Hormidas et Marie-Anne. Norman Lacombe a commencé à travailler à la fromagerie avec son oncle Hormidas Lacombe qui était le frère de son père Hyacinthe Lacombe. .
À cette époque, son père Norman Lacombe et son oncle Hormidas Lacombe jouaient du violon, mais son oncle jouait aussi de la cornemuse. Les frères et sœurs de Jean-Marie étaient tous musiciens et jouaient d'un instrument ou d'un autre, comme le piano, le violon, la guitare et l'accordéon.
Durant son enfance, Jean-Marie a fréquenté une école catholique à Glen Robertson, située à environ 800 mètres de son domicile. Chaque matin, jusqu'à la fin de sa 8e année, il se rendait à son école constituée de trois salles de classes. Pendant les mois d'été, il travaillait dans la ferme d'un voisin ou dans l'atelier de son oncle. Son oncle fabriquait des bâtons de hockey et différentes poignées en bois pour haches, marteaux et pics.
À l'âge de seize ans, Jean-Marie se joignit à des équipes de travailleurs de la construction où il se spécialisa dans le domaine de la maçonnerie et le travail de la pierre. Pendant trois étés, il s'est rendu à Simcoe et à Tillsonburg, en Ontario, pour la récolte du tabac.
En 1953, Jean-Marie a épousé Cécile Vernier. Le couple s'installa à Vankleek Hill, où Jean-Marie commença à travailler pour G. & G. Construction en tant qu'ouvrier, mélangeant du mortier et du ciment pendant la construction du lycée du district de Glengarry. Cécile et lui ont eu sept enfants, quatorze petits-enfants et deux arrière-petits-enfants.
Jean-Marie a travaillé en tant qu' entrepreneur à son compte pendant de nombreuses années, avant de prendre sa retraite en 1990. Comme il était toujours intéressé par les instruments de musique, il en a fait un passe-temps.
Il a développé une passion pour
les violons. Il aimait en jouer et les
réparer.
Il a fabriqué six violons de
style Guarnerius sur le modèle « Il Cannone » de 1743, du
célèbre luthier Giuseppe Antonio
Guarneri de Crémone (1698–1744).
En 1984, il a fabriqué un
violon à cinq cordes qui est une
combinaison du violon et de l'alto. La conception de cet instrumen a été
largement diffusée dans les médias. Cela lui a valu quelques entrevues télévisées
en 1985 à TVA, au Regional Contact et à la TFO.
Par la suite , Jean-Marie a continué à aimer le violon en jouant avec la formation pour cordes le Lochiel.
Par la suite , Jean-Marie a continué à aimer le violon en jouant avec la formation pour cordes le Lochiel.
Jean-Marie avait l'habitude de
dire: "En résumé, je peux dire en toute honnêteté que la vie a été bonne
pour moi et que le monde de la musique l'a rendu encore meilleure."
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